Ces derniers temps, je n'ai pas le coeur à cuisiner, à pâtisser, tout juste à goûter, et, comme c'est étrange, un sentiment de culpabilité à apprécier ce qui est bon !
J'ai donc acheté comme d'habitude la galette au chocolat d'un pâtissier de Bordeaux,
Luc Dorin. Incontestablement, elle correspond à mon idée de la pâtisserie, peu grasse et peu sucrée. Je n'avais donc pas de raison de la photographier comme l'année dernière mais le plat dévasté m'a inspiré, comme un champ de bataille, la gourmandise peut être sans coeur, c'est souvent chacun pour soi et au diable les reproches.
Luc Dorin. Incontestablement, elle correspond à mon idée de la pâtisserie, peu grasse et peu sucrée. Je n'avais donc pas de raison de la photographier comme l'année dernière mais le plat dévasté m'a inspiré, comme un champ de bataille, la gourmandise peut être sans coeur, c'est souvent chacun pour soi et au diable les reproches.
Que restera-t'il ?
Des miettes et la nostalgie du goût.
VIVE LA REINE !
Des miettes et la nostalgie du goût.
VIVE LA REINE !